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PHOTOGRAPHIE-Art. NOBLE****..INTRODUCTION...HISTORIQUE...Former un bon journaliste

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photographie (art)

Présentation ; Le temps des pionniers (années 1820-1840) ; L’émergence de la photographie (années 1850-1910) ; La photographie dans l’entre-deux-guerres (années 1920-1940) ; La photographie des Trente Glorieuses (années 1950-1970) ; La photographie depuis les années 1980

1

 

Présentation

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photographie (art)

, histoire de l’utilisation artistique et documentaire de la technique photographique.

Qu'elle soit associée à des projets de documentation ou qu'elle s'inscrive résolument dans le cadre d'une démarche artistique, la photographie a modifié le paysage des arts et de la communication visuelle. Dès le milieu du XIXe siècle, et malgré de nombreuses résistances de la part de leurs contemporains, des photographes se sont imposés comme des créateurs originaux et ont hissé la photographie au rang des arts. Aujourd'hui, la photographie est présente dans les grands musées internationaux et suscite l'attention de la critique et du grand public. Cette reconnaissance est indissociable de l'essor de la presse illustrée, des galeries spécialisées et de la culture photographique en général.

2

 

Le temps des pionniers (années 1820-1840)

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2.1

 

Niépce et l’héliographie

Les premières véritables photographies, appelées héliographies, sont réalisées par le physicien français Nicéphore Niépce. Il reproduit par ce moyen des gravures anciennes avant de parvenir, en 1827, à photographier le paysage qu'il voit de sa fenêtre. Cette première image ayant nécessité un temps de pose de trois jours (selon les dernières recherches), le cliché trahit notamment le parcours du soleil durant la journée.

2.2

 

Daguerre et le daguerréotype

Après la mort de Nicéphore Niépce en 1833, son associé Jacques Daguerre poursuit avec succès les recherches et présente en 1839 un procédé révolutionnaire, le daguerréotype. Cette méthode proposant des images de haute qualité a cependant un défaut majeur : elle ne permet pas de faire des copies des épreuves.

2.3

 

Talbot et le calotype

En 1835, l'inventeur britannique William Henry Fox Talbot réalise le premier négatif de l'histoire, une image représentant la fenêtre de la bibliothèque de Lacock Abbey. Il met ensuite au point un procédé photographique passant par un support négatif à partir duquel l'on peut obtenir un nombre illimité de tirages. Brevetée en 1841, cette nouvelle méthode, le calotype — plus tard rebaptisée talbotype — est le véritable ancêtre de la photographie actuelle. Cependant, la qualité de ce premier procédé « négatif-positif » ne peut encore rivaliser avec celle du daguerréotype qui reste le plus pratiqué.

2.4

 

Popularisation des procédés photographiques

Évolution de la photographie sur verre

 

En 1847, le physicien français Claude-Félix Abel Niépce de Saint-Victor (neveu de Nicéphore Niépce) communique à l'Académie des sciences un procédé de photographie sur verre. Les négatifs sur plaque de verre (enduites d’albumine) produisent des images d'une grande définition, mais leur faible sensibilité ne permet guère de faire des portraits. Puis en 1851, le Britannique Frederick Scott Archer, sculpteur et photographe amateur, introduit le procédé au collodion humide sur plaque de verre. Le temps de pose variant de 10 à 30 secondes, le collodion est alors largement utilisé par les portraitistes de studio. Enfin, en 1871, Richard Leach Maddox a l'idée de substituer de la gélatine au collodion afin d'accroître la sensibilité des plaques. Les plaques au gélatino-bromure sont environ quarante fois plus sensibles que celles au collodion humide. La voie de la photographie « instantanée » est ouverte.

2.4.

2

 

Noir et blanc / couleur

Au début du XXe siècle, les progrès de la photographie en noir et blanc permettent au grand public de maîtriser des procédés de plus en plus complexes. Les premiers supports couleur commercialisés, des plaques de verre appelées Autochromes Lumière — d'après le procédé mis au point par les frères Auguste et Louis Lumière —, sont disponibles en 1907. Puis l'apparition de la pellicule couleur Kodachrome (1935) et de la pellicule Agfacolor (1936), qui permettent toutes deux d'obtenir des diapositives, marque le début de la grande popularité des pellicules couleur.

3

 

L’émergence de la photographie (années 1850-1910)

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3.1

 

La place de la photographie dans les arts

 

3.1.

1

 

Une concurrente à la peinture

À ses débuts, la photographie est surtout considérée comme un substitut au dessin et à la peinture. Preuve en est, la fructueuse collaboration entre le peintre écossais David-Octavius Hill et le photographe Robert Adamson, qui mettent la photographie au service des arts. De 1843 à 1847, les deux artistes élaborent une fresque photographique de grande envergure qui sert d'étude préparatoire au tableau représentant les 450 délégués de la convention ayant fondé l'Église libre d'Écosse. Leur association donne lieu à la réalisation d'environ 1 800 calotypes. Ces photographies sont aujourd'hui considérées comme une remarquable étude de la psychologie et de la vie de l'époque.

En 1856, le photographe d'origine suédoise Oscar Gustav Rejlander a l'idée de constituer à partir de plusieurs négatifs différents un tableau photographique mettant en scène plus de 20 personnages. Comme il est alors d'usage, Rejlander aborde la photographie en y transposant une esthétique et des thèmes issus de la peinture. Quant au photographe britannique Henry Peach Robinson, il élabore des études de composition où la photographie est associée au dessin. Sa compatriote Julia Margaret Cameron, contrairement à de nombreux photographes de son époque, a une prédilection pour les mises au point approximatives, les prises de vue très rapprochées et les éclairages contrastés. Mais surtout, elle prise les thèmes allégoriques et les poses maniéristes, qui sont également privilégiés par certains peintres contemporains. Les œuvres de Cameron annoncent, à bien des égards, les propositions des photographes pictorialistes au tournant du siècle.

En France, l'œuvre de Félix Nadar, ancien caricaturiste, se distingue des images réalisées par les photographes de studio professionnels. Photographiés contre un fond uni avec un éclairage diffus faisant ressortir les détails, ses portraits constituent de véritables enquêtes psychologiques et non pas de simples marchandises. Cependant, la photographie a encore quelques difficultés à trouver ses lettres de noblesse à la fin du XIXe siècle. Ainsi, l’écrivain Villiers de l’Isle-Adam regrette que « la photographie [soit] arrivée bien tard. N’est-il pas désespérant de songer aux tableaux, portraits, vues et paysages qu’elle eût recueillis et dont le spectacle est à jamais détruit pour nous ? »

3.1.

2

 

Un précurseur du cinéma

En 1878, les travaux photographiques d’Eadweard Muybridge permettent une première décomposition du mouvement. En 1881, il met au point un zoopraxiscope, un projecteur lui permettant de recomposer le mouvement — courses de chevaux, vols d'oiseaux ou compétitions sportives — à travers la vision rapide et successive de ses phases décomposées. Cette découverte place Muybridge parmi les précurseurs du cinéma. À sa suite, le Français Étienne-Jules Marey cherche à perfectionner le protocole technique de Muybridge. Il invente ainsi un fusil photographique (1882) et un appareil à plaque fixe, puis à pellicule mobile (1890), dont il parvient en 1893 à projeter les images décomposées.

3.2

 

Les premiers mouvements photographiques

En 1853, le Britannique Roger Fenton fonde la première société photographique : la London Photographic Society, qui devient la Royal Photographic Society en 1894. L’année suivante (1854), la Société française de photographie (SFP) est créée, notamment sous l’impulsion des photographes Gustave Le Gray et Hippolyte Bayard

années 1980

3.2.

1

 

Le pictorialisme

Désireux de rivaliser avec la peinture — en particulier avec les impressionnistes —, le pictorialisme s’empare de la technique photographique, qui s’est considérablement simplifiée et démocratisée dans le dernier tiers du XIXe siècle, pour inaugurer l’ère de la photographie artistique. Son intention n’est pas de produire une représentation scientifique ou documentaire de la réalité mais de s’en écarter, parfois même jusqu’à l’abstraction, en utilisant et en interprétant les formes disponibles dans la nature pour faire naître l’émotion artistique.

L’une des caractéristiques principales du mouvement est la part d’intervention revendiquée par les pictorialistes au moment de la prise de vue et du tirage. En effet, le sujet photographié n’est qu’un élément constitutif de l’image finale, qui doit toute sa valeur aux modifications apportées par le photographe. Certaines techniques — tel le sténopé reposant sur l’emploi d’une fine plaque métallique percée d’un trou en guise d’objectif — permettent l’obtention d’un flou parfois généralisé à l’ensemble du cliché et caractéristique de l’esthétique pictorialiste.

3.2.

2

 

Le mouvement Photo-Sécession et la photographie pure

Le mouvement Photo-Sécession est fortement influencé par le pictorialisme dont il est issu. Son fondateur, le photographe américain Alfred Stieglitz, oppose au courant dominant la straight photography (« la photographie pure », proposant un rapport au monde plus direct). Défendant toutes les tendances d’avant-garde, il crée en 1902 le mouvement Photo-Sécession, qui élève irrémédiablement la photographie à une forme artistique. Cependant, ses premières images, comme celles de son ami Edward Steichen, se caractérisent par des effets de flou, des frottés, des surépaisseurs de matière, par toutes sortes d'opérations manuelles susceptibles de sacrifier des détails et d'estomper les contours des formes. Ce n’est que dans les années 1910 que les deux straight photographers privilégient la netteté de l'image et la restitution des détails.

Il s'agit, comme le souligne Paul Strand qui rejoint bientôt le mouvement, de libérer « la photographie de la domination de la peinture ». Parmi les membres du groupe se trouvent également Gertrude Käsebier et Clarence White. Malgré la dissolution du groupe dans les années 1910, Edward Stieglitz continue à parrainer de jeunes talents en les exposant dans la Gallery 291 : Paul Strand, Edward Weston, Ansel Easton Adams et Imogen Cunningham. Entre 1903 et 1917, l’organe luxueux de la Photo-Sécession est la revue Camera Work.

3.3

 

La naissance des genres photographiques

 

3.3.

1

 

La photographie documentaire

Entre 1850 et 1880, l'évolution des possibilités techniques suscite l'engouement pour les expéditions. Les photographies de monuments, de sites archéologiques, de paysages et d'habitants de pays souvent éloignés fascinent les contemporains, déterminés à conquérir le monde par le regard. Ainsi, l’Américain Edward S. Curtis enregistre méticuleusement à partir de 1887 les coutumes religieuses et sociales des Indiens d’Amérique du Nord. Il publie ses travaux entre 1907 et 1930, sous le titre The North American Indian.

Également, dès le début des années 1850, la Commission des monuments historiques commande à plusieurs photographes des reportages sur les hauts lieux de France, qu’elle compte archiver au même titre que la documentation écrite. En 1888 est fondée aux États-Unis la revue National Geographic par la National Geographic Society. La place accordée de la photographie documentaire au sein de cette revue de vulgarisation scientifique va être grandissante au siècle suivant.

Puis, à l’aube du XXe siècle, le développement de la presse et des moyens de reproduction photomécanique favorise considérablement l'essor de la photographie documentaire. La diffusion massive des images est essentielle afin de mobiliser la conscience collective et de provoquer l'avancée des mouvements réformistes. C'est ainsi que les images du journaliste Jacob August Riis sur les conditions de vie dans les quartiers pauvres de New York donnent lieu à la publication de deux recueils, How the Other Half Lives (1890) et Children of the Poor (1892). De même Lewis Wickes Hine, sociologue américain et défenseur du droit des enfants au travail, émeut ses contemporains par la publication au début du XXe siècle de photographies d'ouvriers, de mineurs, d'immigrants européens et, surtout, d'enfants au travail. Quant à James Van Der Zee, il photographie tous les aspects de la vie quotidienne de la communauté noire new-yorkaise.

3.3.

2

 

Le reportage de guerre

Parmi les toutes premières photographies de guerre figurent celles prises par le photographe britannique Roger Fenton qui réalise des images de la guerre de Crimée (1853-1856). Il rapporte en Angleterre 360 clichés très soigneusement composés de campements, de fortifications et de panorama d'officiers, dans lesquels l'horreur de la guerre est sciemment occultée. En revanche, la dure réalité de la guerre de Sécession est montrée par Mathew B. Brady (quelque 3 500 clichés des champs de bataille), Alexander Gardner et Timothy H. O'Sullivan, qui prennent le parti de représenter le résultat des massacres. L’image de la guerre telle qu’elle est présentée par les photoreporters n’évolue guère jusqu’à la Première Guerre mondiale incluse : absent lors des combats, le photographe concentre son témoignage sur « l’après-bataille » et montre des images de prisonniers, de victimes et de sites dévastés.

3.3.

3

 

La photographie de paysage

 

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